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Article 931 L2003-036 : définition de l’abus des biens sociaux ou « abs » d’après la Loi malgache

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Art. 931 – Seront punis d’une amende de vingt cinq (25) millions ou cinq millions ariary à deux cent (200) millions de FMG ou quarante millions ariary et de deux mois à deux ans d’emprisonnement ou de l’une de ces deux peines seulement, le gérant de la société à responsabilité limitée, les administrateurs, le président directeur général, le directeur général, l’administrateur général ou l’administrateur général adjoint qui, de mauvaise foi, font des biens ou du crédit de la société, un usage qu’ils savaient contraire à l’intérêt de celle-ci, à des fins personnelles, matérielles ou morales, ou pour favoriser une autre personne morale dans laquelle ils étaient intéressés, directement ou indirectement. Pour être constitué, le délit d’abus de biens sociaux requiert la réunion de trois éléments d’après cet article 931 de la loi malgache L2003-036 :
  • La preuve de la mauvaise foi du dirigeant,
  • Un usage des biens ou du crédit de la société contraire aux intérêts de celle-ci,
  • Un usage des biens ou du crédit de la société effectué dans un but personnel.
Il faut que ces trois éléments constitutifs soient réunis pour qu’il ait abus des biens sociaux.

Abus de biens sociaux et mauvaise foi

Selon la jurisprudence, la mauvaise foi est démontrée lorsque le dirigeant avait conscience du préjudice qu’il causait ou qu’il risquait de causer à la société (Cass., crim., 30 janvier 1974).

Abus de biens sociaux et usage des biens ou du crédit de la société contraire aux intérêts de celle-ci

La jurisprudence considère comme contraire à l’intérêt social tout acte qui appauvrit, même temporairement, la société. Tel sera le cas, par exemple, de tout versement sans contrepartie ou de versements effectués en rémunération de services fictifs.

Abus de biens sociaux et usage des biens ou du crédit de la société dans l’intérêt personnel du dirigeant

L’usage des biens ou du crédit de la société dans l’intérêt personnel du dirigeant doit être démontré par le juge. Le but personnel poursuivi par le dirigeant incriminé peut être aussi bien matériel (enrichissement) que moral (reconnaissance par des tiers).

Dans notre cas, l’abus des biens sociaux n’est pas caractérisé car RANARISON Tsilavo, le plaignant reconnaît lui même que les virements ont une contrepartie

 
 
Selon la jurisprudence, la mauvaise foi est démontrée lorsque le dirigeant avait conscience du préjudice qu’il causait ou qu’il risquait de causer à la société (Cass., crim., 30 janvier 1974).
Selon la jurisprudence, la mauvaise foi est démontrée lorsque le dirigeant avait conscience du préjudice qu’il causait ou qu’il risquait de causer à la société (Cass., crim., 30 janvier 1974).

Les virements bancaires de 1.042.067 euros de CONNECTIC vers la société française EMERGENT ont une contrepartie de 1.321.125 USD ET 297.032 euros reconnus par RANARISON Tsilavo lui-même

2017
31/07/2017

Le résumé de cette affaire d’abus de biens sociaux par RANARISON Tsilavo, le plaignant, d’après sa plainte déposée au TGI d’Evry (France)

L’exposé des faits dans la plainte de RANARISON Tsilavo pour diffamation en France du 4 juillet 2017 : Les points importants sont : Monsieur Solo, en sa qualité de gérant de la société CONNECTIC, payait les factures d’EMERGENT NETWORK SYSTEMS, pour un montant total de 3.663.933.565, 79 ariary, soit environ 1.047.060 euros. Selon jugement rendu le […]

2015
08/12/2015

RANARISON Tsilavo, le plaignant, a signé la totalité des virements bancaires considérés par RANARISON Tsilavo, le plaignant, comme sans contrepartie d’un montant de 1.047.062 euros alors que RANARISON Tsilavo reconnait lui-même dans un email que la société CONNECTIC a reçu pour 1.321.125 USD ET 297.032 euros de matériels

La totalité des 76 avis de virement totalisant 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux, OUI TOUS les avis de virements, ont été TOUS signés par le plaignant, RANARISON Tsilavo, lui-même.  RANARISON Tsilavo a signé les avis de virement puis a fait accompagné les avis de virement des factures de vente […]

25/04/2015

RANARISON Tsilavo, le plaignant, reconnait le 25 avril 2012, par email, que Solo a envoyé 1.321.125 USD ET 297.032 euros en contrepartie des virements de 1.042.067 euros

RANARISON Tsilavo, le plaignant, reconnait le 25 avril 2012, par email, que Solo a envoyé 1.321.125 USD ET 297.032 euros en contrepartie des virements de 1.042.067 euros

  RANARISON Tsilavo CEO NEXTHOPE, le plaignant, lui-même reconnait que Solo a envoyé des matériels à Madagascar dans son email du 25 avril 2012. RANARISON Tsilavo reconnaît le 25 avril 2012 que la société EMERGENT a envoyé des marchandises à Madagascar publié par infos3  

2012
22/04/2012

RANARISON Tsilavo, le plaignant, a lui-même établi TOUS les bons de commandes des produits CISCO revendus par la société EMERGENT à la société CONNECTIC

Un bon de commande à l’entête de la société CONNECTIC mais avec une instruction disant que l’adresse de facturation doit être EMERGENT NETWORK et l’adresse de livraison des produits destinés à la société CONNECTIC  vaut mieux qu’une explication sur le mode de passation de commande de RANARISON Tsilavo  à la société WESTCON Africa pour l’achat […]

03/03/2012

RANARISON Tsilavo, le plaignant, a lui-même mis en place la relation tripartite entre WESTCON – CONNECTIC – EMERGENT pour acquérir des produits CISCO qui seront revendus à la société CONNECTIC par la société EMERGENT

RANARISON Tsilavo, le plaignant, a lui-même mis en place la relation tripartite entre WESTCON – CONNECTIC – EMERGENT  pour acquérir des produits CISCO qui seront revendus à la société CONNECTIC par la société EMERGENT

RANARISON Tsilavo dans son email du 4 mars 2009 dit au grossiste agréé CISCO WESTCON qu’au niveau CISCO CONNECTIC reste le partenaire vendeur au lieu de EMERGENT NETWORK qui paie et est par facturé par WESTCON : AUSSI, ON VOUS PROPOSE LA SEULE SOLUTION POSSIBLE. ON VOUS PAIE DEPUIS NOTRE MAISON MÈRE EN FRANCE : […]

La justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle

RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON tsilavo en toile de fond.   Les mensonges de RANARISON Tsilavo prouvées par des preuves écrites Les jugements rendus par les magistrats malgaches violant la loi au bénéfice de RANARISON Tsilavo Les virements de 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo, tous les ordres de virement signés par RANARISON Tsilavo, ont une contrepartie de 1.321.125 USD et 297.032 EUROS de matériels reçus par CONNECTIC d’après l’email du 25 avril 2012 de RANARISON Tsilavo lui-même Les factures d’achat d’équipements CISCO auprès du revendeur WESTCON Africa, revendeur agréé CISCO, ainsi que les échanges de correspondance par la société française EMERGENT NETWORK d’après un schéma de travail tripartite (CONNECTIC – WESTCON AFRICA – EMERGENT NETWORK )établi par RANARISON tsilavo lui-même en mars 2009. RANARISON Tsilavo a lui même établi une facture d’IOS (logiciciel de CISCO) de 20.000 euros en mars 2009 Les douanes françaises ont constaté que la société EMERGENT NETWORK a envoyé à la société CONNECTIC pour 1.415.430 euros de matériels. La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs. L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo a violé l’article 2 du code de la concurrence et l’article 1598 du code civil malgache. Il a également traduit de travers une attestation pourtant claire de la société CISCO. Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ? L’intérêt civil est dû au victime direct et personnel de l’infraction, la société CONNECTIC, et non à un simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs. Le pouvoir souverain des juges du fond est applicable à condition que les décisions soient motivées et s’appuyent sur une base légale. Et comme le jugement du tribunal correctionnel est sans motivation tour en violant les lois malgaches tandis que l’arrêt de la Cour d’appel ne fait que violer la loi dans motivation. Le jugement du tribunal de commerce du 27 mars 2019 présidée par RAKOTOARILALAINA Annick Rosa fait référence à l’article 301 de la LTGO concernant l’autorité de la chose jugée alors que c’est la première fois que RANARISON Tsilavo et la société CONNECTIC a affaire à la justice RANARISON Tsilavo a signé la totalité des 76 virements de la société CONNECTIC vers la société française EMERGENT que RANARISON Tsilavo considère comme sans contrepartie dans sa plainte pour abus des biens sociaux contre son patron Solo Les magistrats malgaches ont violé les lois malgaches dans leurs jugements qui favorisent RANARISON Tsilavo

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